La dame de onze heures

mercredi 23 décembre 2015

En attendant Noël...


Danser


En regardant cette image je pense ici à Georges Bernanos, dans son très beau  roman, "La joie". 
Certes, nous ne sommes pas en été,  mais qu'importe!


"C’était la joie du jour, et par on ne sait quelle splendeur périssable, c’était aussi la joie d’un seul jour, le jour unique, si délicat, si fragile...."



 Le passage se termine ainsi:

dans son implacable sérénité, où paraît pour la première fois, à la cime ardente de la canicule, la brume insidieuse traînant encore au-dessus de l’horizon et qui descendra quelques semaines plus tard sur la terre épuisée, les prés défraîchis,
l’eau dormante, avec l’odeur des feuillages taris.

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