Danser
En regardant cette
image je pense ici à Georges Bernanos, dans son très beau
roman, "La joie".
Certes, nous ne
sommes pas en été, mais qu'importe!
"C’était la
joie du jour, et par on ne sait quelle splendeur périssable, c’était
aussi la joie d’un seul jour, le jour unique, si délicat, si
fragile...."
Le passage se
termine ainsi:
dans son implacable
sérénité, où paraît pour la première fois, à la cime ardente
de la canicule, la brume insidieuse traînant encore au-dessus de
l’horizon et qui descendra quelques semaines plus tard sur la terre
épuisée, les prés défraîchis,
l’eau dormante,
avec l’odeur des feuillages taris.
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