Paul Guth parle de ses rapports avec son chat, Beauté. Il n'accepte la présence de ce chat que pour sa femme. Il évoque la vieillesse de ce chat qui a perdu de sa grâce. Il parle avec emphase de la métamorphose de Beauté lorsqu'il ne sera plus. Je trouve que le passage concernant la force de persuasion des femmes est particulièrement savoureux.
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